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OH LES BEAUX JOURS

de Samuel Beckett

« Oh le beau jour encore que ça va être ! », dit Winnie au début de la pièce, et elle le confirme à la fin : « Oh le beau jour encore que ça aura été ! ». Enterrée jusqu’à la taille dans un mamelon qui menace de l’engloutir, Winnie, la cinquantaine, est une femme littéralement coincée dans sa vie, mais qui décide malgré tout, avec un optimisme indéboulonnable, de la trouver belle. Willie, son mari, se cache derrière elle et, déjà peu bavard, parle de moins en moins. Voilà deux personnages qui portent mal leur nom : Winnie – to win en anglais – s’enfonce de plus en plus dans la terre tandis que Willie – to will – s’éloigne d’elle. Mais Oh les beaux jours fait céder la cruauté de la tragédie à la légèreté de la comédie : Jeux de mots et calembours, un sens de l’humour et de l’absurde, jamais Beckett n’a été si drôle. « La gravité », constate Winnie, « j’ai l’impression qu’elle n’est plus ce qu’elle était. »

Avec Annick Albini-Jacob et Ravi Rege, mise en scène Petra Maria Grühn, assistante Lydie Hoffmann, décor Thomas Bruner, costumes Bianca Schmidt-Hedwig, lumières H.-P. Boden, son Philipp Kolb, dramaturgie Almut Steinlein, relations publiques Alines Profit

À partir du 14 avril, mercredi au samedi à 20h

Co-production Cie Antéros et Teamtheater Tankstelle

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Photos

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